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KALIADI
1 décembre 2016

Hauts les cœurs !!!!

 

 

DEC 1 n 0

DEC 1 n 3

DEC 1 n I

DEC 1 n 2

DEC 1 n 4

DEC 1 n 5

 

 

Ma chère tribu, le mois de décembre commence !

Décidons qu'il sera festif,  ici en tout cas !

Kaliadi  sera une enclave magique où tout sera possible !

Rébus débiles, recettes, blagounettes, fausses infos, souhaits réalisés !

Kaliadi, c'est vous aussi !

Alors envoyez-moi donc vos créas, vos idées, vos souhaits, lâchez-vous !

Kali, la fleur et moi sommes à votre service !

Amusons-nous !

Fêtons la vie !

Je compte sur toi ma tribu et gros mimis !

 

 

   ©Kaliadi (tous droits réservés) 

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Commentaires
R
Ohhhh j'adore l'idée...alors même si le mois est bien entamé, je m'empresse de trouver une idée ! Des bises d'amour la fée, et sèches moi ces larmes...
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B
Alors là !!!!! Toujours en retard (mais je rattrape !) MAIS QUE CE PROGRAMME ME PLAIT !!!!!!<br /> <br /> Youpi !!!!!!!!!!!
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S
Ce n'est qu'un même auteur, c'est tiré de son premier roman, très peu médiatisé mais qui a fini par avoir le prix du premier roman étranger. Davide Enia " Sur cette terre comme au ciel" chez Albin Michel. Lien vers mon post<br /> <br /> https://lectriceencampagne.wordpress.com/2016/09/01/sur-cette-terre-comme-au-ciel-davide-enia-albin-michel-traduit-par-francoise-brun/<br /> <br /> Ce livre est resté en moi, je ne m'y attendais pas et à chaque fois que j'y pense, j'ai le cœur qui bat plus fort. Un grand moment de bonheur
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S
Alors ce seront quelques extraites d'une de mes plus belles lectures de 2016<br /> <br /> <br /> <br /> Je lui ai dit : "Barbarella, je t'aime." Elle me fait : "Comme les grands?" Moi : "Non, je t'aime pour de vrai."<br /> <br /> <br /> <br /> « Tu sais ce que je voudrais ? Voler le froid de l'hiver, et comme ça, quand viendrait le sirocco, j'aurais toujours le frisson du vent sur la peau et un peu dans le coeur aussi. Dans les histoires, par contre, je voudrais me souvenir seulement de l'instant d'avant. L'instant avant de pêcher un poisson, l'instant avant de toucher un sein, l'instant avant de goûter une orange. Et après, si j'apprends à écrire, je ferai une histoire toute avec des « ne pas » : quand je ne suis pas parti, que je ne t'ai pas dit au revoir, que je ne suis pas allé ailleurs, que je ne travaillerais pas pour un patron et qu'il n'y a pas eu la fête sur la place et que je n'ai pas dansé (…). En tout cas, je cours plus vite que toi. (…) Et ils coururent ensemble, quittant l'enfance, l'un à côté de l'autre, pour la dernière fois de leur vie. »<br /> <br /> <br /> <br /> « La main apprend le mouvement pour dessiner la voyelle, et le corps, par la répétition, apprend les mouvements de frappe et d'esquive. <br /> <br /> Tu veux dire que la main apprend ?<br /> <br /> Le corps a sa propre intelligence. C'est une feuille sur laquelle on écrit.<br /> <br /> Mmm, si tu le dis.<br /> <br /> Tout est écriture.<br /> <br /> Tout ?<br /> <br /> Oui.<br /> <br /> Même la pasta con le sarde ?<br /> <br /> Oui.<br /> <br /> Et les hanches des filles ?<br /> <br /> Oui.<br /> <br /> Et les attentats à la bombe ?<br /> <br /> Oui.<br /> <br /> Et ils écrivent quoi, ces mots de coups de poing et de feintes ?<br /> <br /> L'histoire de ma famille. »<br /> <br /> <br /> <br /> Et le dernier : <br /> <br /> <br /> <br /> "A quoi tu penses, Davidù ?"<br /> <br /> C'est surprenant, cette insistance des femmes à demander aux hommes ce qu'ils pensent. La réponse, le plus souvent, est simple, aussi élémentaire que le mâle : à rien. Parfois on est simplement en train de regarder une tâche sur un mur. D'autres fois, c'est l'écoute d'un formidable solo de guitare électrique qui absorbe toute l'attention. Il n'y a aucune logique. Plus surprenante encore est la façon dont le mâle se sent tenu de fournir une réponse sensée et profonde qui alimenterait son charme mystérieux. [...] Nous les garçons on pense moins, mais beaucoup moins que vous ne croyez. Les garçons, tu piges ? Des heures et des heures à regarder des types en short courir derrière un ballon, à jouer les fiers-à-bras avec les copains, à faire des pompes en s'appuyant sur les poings. Les hommes, Nina. Quelles pensées veux-tu qu'il y ait derrière tout ça ? C'est déjà un miracle si nous arrivons à marcher et à siffloter sans trébucher tous les trois pas."
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G
Pauvre Kali, il ne faut pas te laisser abattre... Heureusement grâce à la fée, tu nous prépares un mois joyeux et festif... Comment participer? ... réfléchissons...<br /> <br /> Gros bisous Madame la Fée!
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KALIADI
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